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N° 132

Histoire anecdotique de nos boissons

Le buveur neuchâtelois du Moyen Âge à la Belle Époque

Textes de Michel Schlup, avec le concours de Caroline Calame

Histoire Société

Un repas sans eau est aujourd’hui impensable. Un dîner qui se termine sans café ni thé a un goût d’inachevé. Ce sont les usages actuels dans nos sociétés occidentales modernes. Si différents des usages d’autrefois. Mettre une carafe d’eau sur la table était encore un acte téméraire au XIXe siècle tant on avait peur de ce liquide si souvent souillé, contaminé par des virus, des bactéries et autres parasites. A tel point que le vin dans certains milieux, à certaines époques, était la seule boisson que l’on s’autorisait. Jusqu’à l’excès : bien au-delà des deux à trois litres quotidiens servis réglementairement dans les casernes, hôpitaux, prisons et autres institutions au Moyen Age.

Du thé, importé d’Asie à grands frais, il n’y en eut guère dans nos régions avant la Belle Epoque. En tenait lieu un autre breuvage indigène oublié aujourd’hui, préparé avec de la belle étoile, ou aspérule odorante. Quant au café, il devint si populaire qu’il remplaça dans les milieux modestes la soupe du matin, celle de midi, et celle du soir.

Consacrée à l’histoire de la boisson en pays neuchâtelois, cette publication montre combien les usages ont changé dans ce domaine, en nous introduisant aussi dans les lieux de la consommation, les auberges, les cabarets et les cafés.

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